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Pourquoi investir dans le p�trole au Qu�bec

Le Qu�bec poss�de d�j� des installations ad�quates pour transformer plus d’hydrocarbures qu’il en utilise pour sa consommation int�rieure. Pourtant, il n’en est qu’� ses premiers pas quant � l’exploitation de ses propres richesses p�trolif�res et gazi�res. Comme la consommation de p�trole et de gaz naturel y d�passe la consommation d’�lectricit�, investir dans l’exploitation des hydrocarbures pourrait s’av�rer un choix judicieux pour aujourd’hui comme pour demain.

Consommation �nerg�tique

Graphique du bilan �nerg�tique au Qu�bec :
La moiti� (51�%) de la demande �nerg�tique du Qu�bec concerne des hydrocarbures : 38�% de p�trole et 13�% de gaz naturel. La part occup�e par l’�lectricit� compte pour 38�% de la demande totale d’�nergie. Les 11�% restants vont � la biomasse (10,4�%) et au charbon (1�%).

Ainsi, contrairement � la croyance populaire, les besoins �nerg�tiques du Qu�bec ne sont pas principalement combl�s par l’�lectricit�, mais bien par les hydrocarbures. Or, pour plusieurs d�cennies encore, nos besoins en combustibles fossiles risquent de demeurer importants. Les �nergies renouvelables, malgr� un d�veloppement acc�l�r�, ne pourront prendre le relais avant un certain temps, puisque leur production cro�t plus lentement que ne le font nos besoins �nerg�tiques. Il faudra donc compter, pour un certain temps du moins, sur les hydrocarbures pour r�pondre � la demande.

� l'heure actuelle, le Qu�bec importe chaque ann�e la presque totalit� des hydrocarbures n�cessaires � son �conomie. Le co�t de revient annuel de cette �nergie atteint pr�s de 12�milliards de dollars. Environ 158 millions de barils de p�trole brut et 200�milliards de pieds cubes de gaz naturel en provenance de l’ext�rieur sont utilis�s chaque ann�e au Qu�bec.

La production d’hydrocarbures � partir de ressources locales rev�t donc une grande importance pour le Qu�bec s’il veut acc�der � une certaine autonomie en mati�re �nerg�tique. Les besoins grandissants des pays en d�veloppement exerceront une pression croissante sur la demande mondiale. Comme la production nord-am�ricaine d’hydrocarbures a d�j� commenc� � d�cliner, l’or noir pourrait s’arracher � un prix exorbitant.

La communaut� g�oscientifique est cat�gorique : le potentiel qu�b�cois en mati�re de p�trole et de gaz est ind�niable et l’exploration de ces ressources devrait constituer une priorit� nationale. L’augmentation de notre production d’hydrocarbures aura pour effet de s�curiser nos approvisionnements et agira positivement sur notre balance commerciale.

Int�r�t �conomique

Un potentiel non valoris�

C’est par centaines que d’immenses p�troliers, venus de pays producteurs, alimentent chaque ann�e l’industrie qu�b�coise du raffinage en p�trole brut. Les quantit�s de p�trole raffin� sont importantes. Les raffineurs qu�b�cois, en mesure de produire � des prix comp�titifs et selon les normes en vigueur, occupent une position avantageuse par rapport aux march�s voisins.

Cependant, le manque de mati�res premi�res emp�che les industriels qu�b�coises de produire � un rythme maximal. Il importe donc d’alimenter cette capacit� de production au moyen de ressources locales et de contribuer ainsi � l’am�lioration de notre balance commerciale.



Rattraper notre retard, rentabiliser nos capacit�s de transformation

La position du Qu�bec sur l’�chiquier �conomique mondial d�pend en bonne partie de son avantage concurrentiel au chapitre de la disponibilit� des ressources �nerg�tiques. Les soci�t�s les plus avanc�es sont celles qui b�n�ficient d’une combinaison de sources d’�nergies � la fois diversifi�es, fiables et peu dispendieuses.

Alors que nos besoins en mati�re d’hydrocarbures se trouvent actuellement combl�s par l’importation, nos capacit�s de raffinage, quant � elles, exc�dent nos besoins. Nous importons donc du p�trole brut pour ensuite exporter des produits p�troliers.

L’industrie qu�b�coise du raffinage a d�j� tout le savoir-faire requis pour la transformation des hydrocarbures. Elle est m�me pr�te � faire les investissements requis pour augmenter sa production. En 2003 seulement, les investissements en infrastructures faisaient un bond de 34 % pour atteindre les 349,4 millions de dollars. L’extraction d’hydrocarbures du sous-sol qu�b�cois augmentera la capacit� d’exportation de cette industrie d�j� pr�te � r�pondre � une demande accrue.

La Gasp�sie par rapport � l’Alberta

Donn�e
Qu�bec
Alberta
Population
7,5 M
3,2 M
Superficie
1,7 M km2
0,7 M km2
R�serves prouv�es
�
�
��P�trole
Nul
1,0 BCF
��Gaz naturel
62 Gb
261 TCF
Droits et redevances en 2003
400 K$
7,7 G$
Puits for�s en 2003
3
17 873
Investissements en exploration en 2003 amont
5 M$
19,3 G$
Emplois dans le secteur amont
100 (e)
275 000
Dette de la province au 31 mars 2005
98,0 G$ (e)
-9,7 G$ (e)